Les animaux sont rompus à la phytothérapie puisque d’instinct ils vont consommer des végétaux spécifiques à l’état naturel en cas de besoin.
Il est donc normal d’utiliser les huiles essentielles afin d’aider nos animaux à aller mieux en attendant la visite chez le vétérinaire, les accompagner avec les huiles essentielles (HE) sous le contrôle de ce dernier ou encore leur permettre de se maintenir en forme.
Comme pour le médecin chez l’humain, le diagnostic et le suivi de l’évolution sont indispensables. Ce qui fait que l’on ne peut pas remplacer le vétérinaire. Il arrive que dans des cas urgents ou graves, l’allopathie soit le type de traitement le plus approprié et le plus efficace, du moins en première intention. Le vétérinaire est alors le mieux placé pour en prendre la mesure.
On n’accompagne pas un être humain comme on aborde un chien, un chat ou un cheval. Cela n’a rien à voir avec une histoire de masse corporelle, mais c’est l’aspect physiologique et métabolique différent de celui de l’Homme qui rend l’aromathérapie animale compliquée.
On ne s’occupe pas de la même façon d’un félin (ce qui est compliqué avec les HE), d’un bovin, d’un ovin, d’un équidé ou d’un canidé.